Acidalie des alpages

Idaea aureolaria

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JFMAMJJASOND N°2/253 dans la baseGeometridae

Sous-famille Sterrhinae

Genre Idaea

Autres noms vernaculaires Acidalie double-ceinture

Envergure de 15 à 20 mm

Nombre de génération 1

Dimorphisme sexuel Peu marquée, le mâle a des lignes moins contrastées

Plante hôte Diverses fabaceae dont des plantes du

genre «Onbrychis» et la coronille bigarrée

Fleurs visitées Se pose le plus souvent sur des herbes basses et sur des fabaceae.

Répartition Visible uniquement dans les montagnes de l'Est de la France Carte INPN Cliquez ici...

Biotope Présent dans les herbes basses des prairies d'altitude.

Altitude minimale 500 mètres

Altitude moyenne 1500 mètres

Altitude maximale 2400 mètres

Ce petit papillon se rencontre plutôt en montagne dans des zones herbeuses sèches et ensolleillées. On le reconnait à ses ailes jaune d'or traversées par deux lignes sombres et parallèles et une troisième plus petite et plus près de la base des ailes ( souvent peu visible). Le revers n'est décoré que par deux lignes. La frange est également bordée d'une ligne brun foncé assez épaisse.

N°248418
Espèces proches

Phalène du Queyras

La phalène du Queyras a aussi le dessus des ailes traversées par des lignes brun-foncé mais uniquement deux, sa marge n'est pas bordé d'une ligne brune épaisse. Sur le revers des ailes, on distingue un semis de petits points entre les lignes alors que, pour l'acidalie des alpages, les lignes sont bien nettes. L'acidalie des alpages a des yeux marron, ceux de la phalène du Queyras sont plutôt glauques. Le mâle de la phalène du Queyras a les antennes pectinées.

Acidalie ocreuse

L'acidalie ocreuse a la même taille et ressemble à l'acidalie des alpages. Ses ailes ocres sont traversées par des lignes plus fines et plus pâles. Elle n'a pas de frange noire.

Acidalie jaune

Papillon proche morphologiquement et pouvant se trouver dans les mêmes biotopes, l'acidalie jaune n'a pas de lignes sombres sur le dessus des ailes ou très peu marquées.

Large bordure brunes des ailes
Accouplement : le mâle n'a pas d'antennes pectinées (contrairement à celui de la phalène du Queyras).
Sur une fabaceae qui semble constituer l'alimentation de la chenille
Sur une graminée
Dessous des ailes avec seulement deux lignes
Sur une tige de graminée
Un spécimen tout frais avec les trois lignes bien marquées : recto
Le même : verso