Phalène du Queyras

Cleta filacearia

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JFMAMJJASOND N°195/253 dans la baseGeometridae

Sous-famille Sterrhinae

Genre Cleta

Envergure de 15 à 20 mm

Nombre de génération 1

Dimorphisme sexuel Les ailes pectinées du mâle permettent de l'identifier, sinon mâle et femelle sont quasiment identiques.

Plante hôte Diverses plantes herbacées

Fleurs visitées Se pose le plus souvent sur des herbes basses.

Répartition Visible uniquement dans les Alpes et le Massif-Central Carte INPN Cliquez ici...

Biotope Présent dans les prairies herbeuses d'altitude

Altitude minimale 450 mètres

Altitude moyenne 1380 mètres

Altitude maximale 2860 mètres

Ce petit papillon se rencontre plutôt en montagne dans des zones herbeuses sèches et ensolleillées. On le reconnait à ses ailes jaunes traversées par deux lignes sombres sur le dessus et le dessous des ailes (plus marquées sur le dessous). Le revers est parsemé de petits points noirs surtout à la base et le bord externe du dessous des ailes est décoré d'une ligne fine.

N°248414
Espèces proches

Acidalie des alpages

L'acidalie des alpages a aussi le dessus des ailes traversées par des lignes brun-foncé mais elles sont au nombre de trois (celle de la base souvent peu visible), sa marge est foncé et épaisse. Sur le revers des ailes, les lignes sont bien nettes alors que pour la phalène du Queyras, on distingue un semis de petits points noirs. L'acidalie des alpages a des yeux marron, ceux de la phalène du Queyras sont plutôt glauques. Le mâle de l'acidalie des alpages n'a pas les antennes pectinées.

Dessus des ailes d'une femelle avec les lignes peu marquées
Dessous des ailes décoré de nombreux petits points noirs
Antennes pectinées chez le mâle